Every turnip, every potato, as
sacred as my own body. Food whispered in the dark and eaten by a
skelton fire. Everyday fighting for a sack of crisps and a glass of
cold water... Everyday is a countdown until the final potato and the
final grain of rice. As we walk toward the end of beans and the end
of carrots. Better eat them before they go toxic.
On entend le bruit d'une pulsation
électrique réchauffant les circuits et alimentant les batteries, de
la dynamo hurlante chassant l'humidité, d'une région entière
tendue entre pouwer et dampité, et tous les mâts de fer sont tombés
à la préhistoire de ce temps-ci, et ils ont nervuré le toit d'une
grande maison familiale en amont du fleuve orange, et les câbles
étaient tendus sous l'eau, protégés par la vase, et le cuivre a
servi à réparer des milliers d'ourdis, de comps dans les sacs à
dos des ordinolâtres, et dans la nuit tu tires sur le starter de
l'ordinateur, et subitement ça sent les circuits chauffés et les
résistances, et je vois le blanc de ses yeux chauffés à bleus et
rendus phosphorescents par le lumière venant du petit écran, et en
pensant elle danse sur les touches écrivantes dont la moitié
manquent, quand elle me textait dans la nuit, et que tout passait
dans des câbles fatigués, il fait bien trop froid, les changements
de vitesse ne répondent plus, ni les freins, il doit y avoir une
rupture de communication, le processus doit être grippé, on met les
batteries dans nos sous-vêtements pour qu'elles ne meurent, déjà
l'encre a gelé dans les stylos et ton cerveau ralentit dans la neige
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